À propos de Lema’ancha

Nous voulons laisser la lumière du Machia’h briller à travers nos actions. »

Wiljo Beerens – Président et fondateur

Notre équipe

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Wiljo et Annie Beerens

Wiljo et Annie Beerens

Les Fondateurs

Wiljo et Annie voyagent souvent entre Israël et les Pays-Bas. En Israël ils s’occupent du développement du projet, de la prise de nouveaux contacts et de seconder l’équipe autant que possible. Ils font connaître ce projet aux Pays-Bas et à l’étranger.

Fulp et Fabiola van der Velden

Fulp et Fabiola van der Velden

Encadrants

Fulp et Fabiola demeurent la plupart du temps en Israël pour veiller à ce que tout se passe bien, ils se chargent de nombreuses tâches et en particulier de l’accueil et de la formation des bénévoles.

Willem Dane

Willem Dane

Coördinateur des Relations Publiques, Trésorier

Willem est le responsable qui communique les informations aux personnes qui se sont inscrites. Responsable R. P. Willem conseille les personnes qui font des films et des reportages. Il s’occupe aussi de la mise à jour du site sur le web.

Jennie Geluk

Jennie Geluk

Administratrice générale

Jennie sera votre premier contact téléphonique après votre inscription. C’est aussi Jennie qui communiquera les instructions nécessaires aux personnes qui viendront se joindre à l’équipe du téléphone.

Andrea Hoogendoorn - Pellikaan

Andrea Hoogendoorn - Pellikaan

Assistance interne

Andrea soutient les membres du personnel, notamment en ce qui concerne les données des bénévoles. Andrea constitue également un lien entre différents membres du personnel aux Pays-Bas, en Israël et en Allemagne.

Un mot du fondateur

En novembre 2023, peu après le 7 octobre, jour de la terrible attaque dans les différents kiboutzim autour de Gaza, trois d’entre nous (originaires des Pays-Bas), nous sommes rendu en Israël. Nous avions entendu dire que les récoltes risquaient d’être mauvaises et que les agriculteurs autour de Gaza risquaient de faire faillite les uns après les autres. Un grand nombre de travailleurs thaïlandais avaient été tués ou pris en otage et les autres ont fui en Thaïlande. Les Arabes ont été interdits d’entrée et de nombreux Israéliens ont été mobilisés pour défendre le pays. Résultat, un grand manque d’ouvriers agricoles.

La veille de notre départ, je lisais dans d’Esaïe 61 : « Des étrangers se tiendront prêts à faire paître vos troupeaux, des étrangers seront vos bergers et vos vignerons ». Et nous nous sommes retrouvés dans cette prophétie vieille de plusieurs millénaires : des étrangers au travail dans les champs d’Israël.

Nous étions Nahala en train de travailler chez un producteur de tomates. Dans un village près de Gaza, des pensées ont jailli spontanément dans mon esprit. Alors que les hélicoptères et les bombardiers nous survolaient toute la journée et que nous entendions les bombes tomber au loin, la pensée m’est venue : « Comment pouvons-nous amener plus de croyants des nations en Israël pour qu’ils viennent aider à la récolte ? »

D’une part, j’ai vu l’énorme besoin qu’il y avait et qui existe toujours en Israël. D’autre part, j’ai pensé aux nombreuses personnes qui aiment Israël aux Pays-Bas, en Belgique, en Allemagne, en France et ailleurs. Si nous pouvions mobiliser un grand nombre de ces personnes pour qu’elles viennent en Israël MAINTENANT, alors que le monde entier semble se retourner contre Israël, ce serait un grand encouragement pour les agriculteurs. Je me suis également rendu compte que si ce projet avait du succès, il pourrait devenir trop important pour un seul homme. Si de nombreux bénévoles s’inscrivaient, il faudrait une bonne organisation pour gérer tout cela. J’ai donc demandé à Dieu, le Dieu d’Israël, notre Père céleste : « Si ces pensées sont les Tiennes, si c’est maintenant que des étrangers seront les cultivateurs, il faudra que Tu ouvres les portes et que Tu m’amènes des gens compétents, parce que je n’ai aucune idée de la façon de gérer cela ».

Et c’est exactement ce qui s’est passé et ce qui se passe encore. En Israël les contacts se sont multipliés, et la même semaine, une équipe a été constituée aux Pays-Bas. Dans cette équipe il y avait des personnes compétentes sans lesquelles Lema’an’ha ne pourrait même pas exister. Une association et un site internet ont été créés, un système d’inscription ingénieux a été mis au point et des personnes ont commencé à poser leur candidature pour venir aider en Israël.

En tant qu’équipe, nous faisons ce que nous pouvons mais avant tout, c’est Dieu qui prend soin de son peuple et de sa terre – c’est le Père d’Israël qui ouvre les portes. C’est le Père qui utilise les croyants des nations pour bénir son peuple. C’est aussi la signification profonde du nom de notre fondation car Lema’an’ha signifie « pour vous », en effet, rien de ce que nous avons ou de ce que nous faisons ne nous appartient, tout ce que nous donnons ou faisons, ou ce que nous sommes, vient du cœur du Père. Par conséquent, le sens profond de Lema’an’ha est : « La bénédiction de Dieu à travers vous pour le bien d’autrui ».

Je crois que la venue du Machia’h est imminente. Je crois que nous, croyants des nations, pouvons même contribuer à hâter cette venue. C’est pourquoi je veux vous encourager, en tant que croyants des nations, dans le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, dans le Dieu d’Israël, je veux vous encourager à vous joindre à nous et réaliser cette ancienne prophétie d’Esaïe, parmi d’autres.

Ce qui a vu le jour en quatre mois dans le Néguev ne peut pas être qu’une œuvre humaine. Jusqu’à présent, nous avons déjà accueilli à Nitzana un peu moins de 500 bénévoles de différentes confessions.

Ici, dans le sud du Néguev, notre collaboration avec les agriculteurs leur apporte de l’espoir. Nous avons de nombreux témoignages d’agriculteurs qui sont incroyablement reconnaissants. L’un d’eux a déclaré, les larmes aux yeux : « Alors que le monde entier est contre nous, vous venez bénévolement en Israël pour nous aider. Se peut-il qu’il y ait encore un Dieu d’Israël qui s’occupe de nous ?» Une Israélienne a déclaré : « Depuis le 7 octobre, nos lèvres ont désappris à sourire, mais lorsque nous voyons ce que vous faites ici, un sourire revient sur nos lèvres ».

Outre le travail avec les agriculteurs, il y a aussi du temps pour la détente. Nous faisons de petites excusions, nous prions ensemble, nous avons des promenades de prière, nous faisons de la musique ensemble, nous réfléchissons ensemble à ce que signifie l’unité dans la diveresité.

À Nitzana, nous faisons l’expérience de l’unité, non seulement entre les croyants des différentes nations, mais surtout l’unité pour laquelle Yéchoua a prié dans Jean 17:20-21 : «Et je prie non seulement pour ceux-ci (ses disciples juifs), mais aussi pour eux, les croyants des nations qui croiront en moi par leur parole… ».

Lehitra’ot

Wiljo Beerens – Président et fondateur